Face aux accusations de fraude fiscale portées contre Jules Alingete, Inspecteur général et Chef de service de l’IGF, un consortium d’ONG des droits de l’homme exhorte le Parlement de la RDC à agir en l’absence d’enquêtes judiciaires, les ONG recommandent la mise en place d’une commission parlementaire chargée de faire la lumière sur cette affaire.
Lors d’une réunion au centre culturel Boboto à Kinshasa, ces organisations ont formulé plusieurs demandes. Tout d’abord, elles exigent la démission de Jules Alingete afin de garantir des enquêtes indépendantes et objectives. De plus, elles appellent les cours et tribunaux, ainsi que la Cour des comptes, à diligenter des enquêtes approfondies compte tenu de la gravité des accusations portées contre le chef de l’IGF.
Cette affaire, qui a suscité l’attention du public, met en lumière la nécessité d’une transparence accrue dans la gestion des finances publiques. Le Parlement est désormais appelé à jouer un rôle crucial en instaurant une commission parlementaire pour enquêter sur ces allégations et rétablir la confiance du peuple congolais.
Notons que, la recommandation du consortium d’ONG souligne l’importance d’une réponse parlementaire rapide et rigoureuse face à cette affaire et vérité doit être établie, pour le bien de la nation congolaise.
Rédaction