Jour pour jour, que le président de la République démocratique du Congo Felix tshisekedi a pris le pouvoir , sa prestance était porteur d’espoir , la majorité des congolais ont crû d’un avènement nouveau pour l’équilibre de la justice sociale, la distribution des richesses, la sécurité intérieure .
Malheureusement ,fort de constater que l’ironie de l’histoire, l’aventure se répète.
En 2001,le peuple congolais avait crû que kabila pourrait mettre un terme à la souffrance du peuple, 19 ans après , la république tourne au rond-point avec une classe politique majorité et opposition des, hommes et des femmes qui n’ont ni conscience ni amour de la patrie .
Le Congo un géant avec un contenu faible en terme de leadership interne pour influencer l’avenir de sa population vivant avec précarité .
Les élections de 2018, nous avions voté sous la pluie, nous étions allés pour n’est plus renouvelé la misère,
Nous n’avions pas voté l’individu président, mais avions voté l’unité de Congolais dans la diversité ;
Nous n’avions’ pas voté le tribalisme,
Nous n’avions pas voté la coalition, nous avions voté pour le 100 milliards promis pour le budget ;
Nous avions voté la matérialisation de nos rêves ;
Nous avions voté la paix entre communautés ;
Nous n’avions pas voté l’aventurisme politique, à la place de la conscience et l’honnêteté dans la gestion de la respublica.
Le jeu politique devient bénéfique que pour le député, sénateur, ministre, gouverneur et quelques initiés.
2 ans durant aucune mesure réelle pour l’emploi populaire des jeunes, aucune action pour matérialiser l’Allemagne de l’Afrique, naître dans un pays où des initiatives du développement de la société n’intéresse jamais la classe politique, c’est la mort dans l’âme.
L’anthropocentrisme doit être l’objet politique pour 2021.
Kisimbi kya ba nkulu.