Lancé par le Gouvernorat de Kinshasa en 2019 avec un budget de 363 millions de dollars américainsinvitant le chef de l’état comme hôte du lancement de ce grand projet de ramassage des déchets et de rendre la capitale plus propre malheureusement, c’est devenu comme une malédiction la ville a bel et bien échouée dans cette aventure.
Les acteurs liés à ces fléaux devenus le quotidien de Congolais sont :
L’absence de curage,l’absence de l’implication de l’autorité par un planning opérationnel sur bopeto, l’absence d’une campagne de vulgarisation sur l’importance de la salubrité, le manque d’implication des bourgmestres, la population elle-même ne s’intéresse jamais.
Lors du lancement, les bourgmestres ont bénéficié de quelques millions de francs congolais la modique somme engagée n’était que pour peindre le macadam cas de la commune de Kinshasa et Limete.
Un constat désolant, pour remédier à l’insalubrité, la ville est appelée à concevoir un gigantesque projet des ramassages et traitements de déchets pour en faire des richesses et elle doit s’impliquer pour y parvenir, les bourgmestres aussi doivent s’impliquaient, il faut que l’intelligence pure du Gouvernorat pour illuminer des agents censé révolutionner l’action gouvernementale.
L’insalubrité devenue presque une seconde identité de Kinshasa sous Kimbuta c’était pareil après le départ de l’Union européenne dans les projets pilotes de [P. A.U.K.] même si l’on donnait un milliard de dollars à la ville tant que les autorités de la ville n’ont pas un plan pour :
– Assainissement
– Curage des caniveaux
- Récolte des déchets
– Création d’une brigade bopeto
– Repérage des sites devra servir pour l’érection de l’usine des recyclage des déchets tous genres, etc…
Tant que l’état congolais n’aura pas de solution kin la poubelle ne reviendra jamais kin la belle.
Gilbert Fundi.