G.F
De lamuka à Kinshasa, en passant par les enfants (élèves) de Beni et aujourd’hui la population qui s’est levée comme un seul homme pour dire non à l’institution d’une taxe dénommée « RAM »(registre des appareils mobiles) le monde vient de constater que la Rdc n’avance pas en matière de liberté de manifestation.
Alors que nous sommes dans un régime d’information, les autorités tentent de faire passer la thèse selon laquelle toute marche doit avoir l’autorisation préalable des autorités provinciales à travers le pays. Décidés à revendiquer, ses droits, la population s’est vu empêcher d’atteindre la primature pour y déposer un mémo en vue d’obtenir la suppression totale de la dite taxe qui selon certains observateurs n’est qu’une vaste escroquerie.
Six mois, après avoir été institué,le RAM peine à être accepté par bon nombres des Congolais utilisateurs des téléphones mobiles. Avec cette vie qui devient dure, nous trouvons que cette taxe n’est pas opportune. Les raisons avancées par l’arptc (autorité de régulation des postes, téléphones et télécommunications ndlr) ne tiennent pas debout » a fait savoir un utilisateur indigné.
Prévue pour ce lundi, 03/05,une marche a été réprimée avec une violence sans pareil un message fort qui caractérise l’avènement d’une expression proportionnée dans l’intention de fair taire l’opinion. « L’état a la charge de protéger ses citoyens, mais nous constatons que ce n’est pas le cas en Rdc où dans chaque coin du pays il y a un problème Particulier.
La Rdc fait parler d’elle actuellement suite à cette taxe mais le vœux de tout le monde est de voir claire dans cette affaire qui risque de mettre en male constitution ordonne de tels prérogatives à l’état de droit prôné par le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi.
En entendant, tous les regards sont fixés vers l’Assemblée nationale où le ministre des Ptntic est attendu pour répondre à quelques questions de la représentation nationale.