De nombreux signes l’attestent déjà que l’initiateur du courant politique décision finale serait en train de courir à contre-courant contre le chef de l’État sur plusieurs fronts politiques.
La dernière serait l’info que l’on attribue à tort ou à raison au Premier vice-président de l’Assemblée nationale sur l’affaire R.A.M. d’où l’on signifie bien que l’histoire de R.A.M. serait gérée au niveau de la présidence cette communication accuserait sommairement le chef de l’État devant l’opinion publique d’être l’instigateur et moteur de cette affaire de R A.M. Cependant cette guerre pour le trône (dauphin) en 2023 et 2028 affiche déjà les ambitions démesurées de l’homme de la décision finale.
Dans le réal politique de 2023 l’on constate des fissures au sein du parti au pouvoir certains, se réclame de Tshisekedistes mulumbiste d’autre des Fatshistes.
Un contraste idéologique qui offusque déjà “le peuple d’abord” qui est un slogan politique très fort au cœur d’un Congo qui est à la croisée de quatre ennemis potentiels à savoir le social, l’insécurité, le sous-développement et le déboulonnage d’un système réputé des criminels économiques caractérisé par des détournements à outrance.
Le militantisme reste l’épicentre d’une forte manipulation pour ne jamais organiser des cellules de bases idéologiques avec une cartographie technique dans le prochain fichier électoral du parti, l’on assisterait à des théâtres des somnolences.
En regardant de loin ce grand climat de fortes confusions politiques pour 2023, il y a possibilité de voir un consensus (dynamique) des opposants et certains membres adhérents de l’Union sacré devenir le cauchemar du président.
Édito.