FELIX TSHISEKEDI doit démissionner et demander pardon à la nation a déclaré cet acteur politique à cause de maltraitance populaire due au coronavirus.”l doit rendre compte sur la gestion de fonds alloué pour contraindre covid-19 sur tout l’étendu du territoire national” a-t-il ajouté.
la déclaration de l’état d’urgence et la levée de ses mesures devait répondre aux acquis du peuple.Décrété le 24 mars l’état d’urgence a posé des problèmes socio-économiques.
“En signant l’ordonnance limitant les mouvements individuels sous prétexte de la covid-19, la gestion chaotique de l’équipe de riposte a crée des doutes sur l’existence de la covid-19 en RDCongo !” s’est-il exclamé.
L’impaiement du personnel soignant,une question qui mérite des éclaircissements
“Docteur Muyembe, dit avoir reçu juste 1,400,000 Usd,le ministre de la santé à son tour dit avoir reçu 3,000,000 Usd.Le gouvernement par le biais du ministre des Finances a signalé avoir décaissé 10,000,000 Usd.Certaines informations faisant état de plus 27,000,000 Usd mobilisé pour la lutte contre covid-19 au finish pas de vérité, qui tromp qui?” S’est-il interrogé.
Alain Bolodjwa souligne en disant que la maladie est bel et bien réelle mais la gestion a posé des lacunes dans la conception, l’organisation, la communication et l’application de mesures.
“Nous demanderons au Président Félix de nous éclairer par un rapport détaillé sur les dépenses des millions qu’ils ont amassés au nom de la covid-19. Depuis son entrée au pouvoir le pays s’est enfoncé encore dans de multiples difficultés causées par le deal entre Joseph Kabila et lui” a fait savoir cet acteur politique qui pour lui,le pays est codirigé par deux personnes qui n’ont pas des idéologies fixes mais plutôt des intérêts flous.
Au sujet de l’enseignement Primaire et technique
“La gratuité de l’enseignement de même comme d’autres projets initiés par Tshilombo resteront des lettres mortes.Une bonne idée mais un raté par manque d’organisation car dans ce domaine de l’éducation il y a au moins plusieurs composantes et plusieurs centre d’intérêts nous a-t-il fait savoir. Il indique qu’il y’ a d’abord l’état, les établissements, les enseignants, les parents et les élèves.
“La gratuité de l’enseignement en réalité n’existe pas.L’état s’est plutôt substitué en parent. Sur près de 600,000 enseignants seulement 300,000 qui sont pris en charge et les 300,000 autres sont hors circuits du payement. Presque 50% du personnel enseignant du primaire ne sont pas pris en charge par l’état. Cette situation exige le maintien de la qualité de l’enseignement et du personnel ainsi face aux contraintes dues à la pandémie de Covid-19 le gouvernement doit avoir du courage pour décréter l’année blanche” a-t-il conclu.