Sh. H
Selon certains observateurs, la République démocratique du Congo connaît l’afflux des initiatives immorales non contrôlées par des actions des communications des sympathisants du parti au pouvoir. Au départ, c’était des attaques verbales contre Kabila,Kamerhe,fayulu,Mabunda et aujourd’hui, c’est le tour des journalistes.
Les mêmes qui hier les ont soutenus par des reportages et publications des articles contre le gouvernement précédent militant au côté de l’udps, aujourd’hui au pouvoir, ils sont devenus la bête noire de la 10em rue .
D’aucuns, ignorent que les séquelles du traumatisme kabilien serait la cause de ce comportement. À Kinshasa, il existe un adage qui dit « A zwaka te kasi azwi lelo d’autres disent que kobonga ya prolongation epesi kisefe » tout ceci repose sur un comportement qui a pour objet d’écraser les autres.Après avoir écrasé la famille politique de Kabila et rendre inefficace Lamuka, l’udps se croit être en mesure d’écraser la presse. Si en son temps l’aigle de Kawele n’était pas en mesure de mater la presse, l’ours de kingakati lui aussi n’a pas pu éliminer la presse, ce n’est pas sous le rangers que la presse sera écrasée.
Cette attitude assimilée à la délinquance linguistique des communicateurs des parlements debout qui font vendre au public des images et langage rempli des insanités,sous Mobutu et Kabila aucun jour nous avons vues des adeptes de ces hommes s’attaquer en citant nommément les noms des journalistes. Pourrions-nous comprendre que l’absence idéologique au sein du parti au pouvoir serait la cause profonde de ce comportement diabolique ?
À cette allure 2023 sera une année de tous les enjeux, car aucun citoyen va supporter cette irresponsabilité continuelle. L’avènement de l’udps au pouvoir démontre encore une fois que l’avenir de ce beau pays est sombre. Aucun changement social ne se fait voir à l’horizon 2023.
La guerre contre la presse personne ne la gagne, car la presse, c’est le quatrième pouvoir.