Le pays de Lumumba est le second poumon mondial en terme des forêts, des eaux douces et biodiversité.
Après des multiples guerres que le pays est connu, il continue toujours de faire l’objet des convoitises multiples.
Des minerais aux arbres en passant par l’envahissement des terres congolaise par des pays limitrophes, une autre guerre s’est déclenche dans la sous-région l’or bleu.
Le transfert des eaux du fleuve Congo vers le Tchad sera un crime.
Ce qu’il ne faut jamais accepter ce Transfèrement des eaux du fleuve Congo vers le Tchad.
Les experts ont donné des informations sur tous les risques que le pays court en donnant de l’eau même à partir de l’embouchure.
Cette question exige un referendum avant toute action informent les experts.
Si cette catastrophe parvenait à se réaliser, ce la fin du barrage hydroélectrique d’Inga et l’écosystème de la République démocratique du Congo sera anéanti et cela sera un crime écologique.
La République démocratique du Congo (RDC) possède plus de 50 % des réserves d’eau du continent africain mais malgré ce potentiel fabuleux, 33 millions de personnes en milieu rural n’ont pas accès à l’eau de qualité.
Malgré des efforts continus, seulement 52 % de la population a accès à un point d’eau amélioré et 29 % à des installations sanitaires améliorées.
parallèlement, la malnutrition chronique touche 43% des enfants de 0 à 5 ans sur toute l’étendue du territoire congolais.
La malnutrition résulte de causes multiples dont le faible accès à l’eau potable, à des services d’assainissement et à la non-adoption des pratiques d’hygiène de base.
De manière plus générale, l’accès à l’eau de qualité et à des conditions sanitaires et d’hygiène adéquates permettent la prévention de multiples autres maladies d’origine hydrique.
Par ailleurs, la situation de conflits dans certaines provinces facilite la propagation des maladies d’origine hydrique, en raison de mouvements de population importants. L’arrivée des déplacés dans des communautés d’accueil, avec un faible taux d’accès à l’eau potable, augmente la pression sur les ressources disponibles.
La RDC est un pays endémique et fait face à des épidémies multiformes.
Edito