Depuis l’avènement du couvre-feu, l’on assiste à un afflux des jeunes hommes et femmes presque tous les jours dans de night-club et terrasses.
Depuis l’avènement du couvre-feu, l’on assiste à un afflux des jeunes hommes et femmes presque tous les jours dans un night-clubs et terrasses. Depuis un certain moment que l’on assiste à un phénomène commercial (masanga ya action) la bière en solde les entreprises brassicoles font inonder tous les quartiers et coin mouvementés des produits en soldes.
Réputé par la jouissance caractérisée, Kinshasa fait face à un alcoolisme des jeunes accompagnés par une symbiose de musique et alimentation des circonstances.
Parcourant Kinshasa, de nyangwe à Kimbuta en passant par Matonge et Kapela le constat est le même. Certaines communes sont caractérisées par la vie facile des filles à cause de la pauvreté, le manque des boulots.
Certains coopèrent avec modestie pour satisfaire l’instinct sexuel de ceux qui prennent de la bière. Cet échange se fait moyennant les billets de banques et c’est devenu à la mode dans presque tout Kinshasa.
L’on note le phénomène, mineurs » qui deviennent l’identité kinoise à cause de la pauvreté et l’absence de l’implication des autorités dans ces domaines de plaisir.
La constitution dans l’une de ses dispositions recommande à l’État de veuiller sur la jeunesse en assainissant son environnement de base. Malheureusement, en occultant les milieux sociaux des jeunes, l’on assiste à un abandon systématique des autorités nationales et locales .
La République est réputée par une politique d’abandon de la jeunesse, l’avenir pour des jeunes est sombre à tous les niveaux.
Certains préfèrent quitter le pays pour immigrer ailleurs. La misère et le chômage sont les principaux maux qui caractérisent la jeunesse congolaise.
Quant à ceux qui crient « le peuple d’abord « , c’est aussi un remède pour éradiquer des phénomènes immoraux dans la société qui est en pleine mutation sociétale.
Yulio bendera Mukombozi