Par Gilbert Fundi.
Lancé en 2019 par le chef de l’État et coordonnée par le gouverneur de la ville, ce projet de kin bopeto qui au départ pouvait bénéficier de l’apport des Kinois pour remédier au problème d’insalubrité malheureusement Kin bopeto s’est retrouvé devant une situation où la population ne contribue pas à sa bonne marche.
C’est depuis quelque temps que la ville de Kinshasa connaît l’afflux et l’exode excessif des populations venant de partout à travers le pays pour diverses raisons. Soit c’est pour les études, soit les affaires ou en vacances.
Une association des diverses habitudes qui posent de sérieux problèmes sur la manière de vivre dans de grandes agglomérations où tout est régulé par l’argent.
Des gens qui jettent des déchets ménagers dans les caniveaux, des bouteilles plastiques, des sachets et autres des déchets dégradables et non dégradables. Cela occasionne des problèmes à chaque fois qu’il pleut. Des constructions anarchiques, l’abandon de Bourgmestre à cet élan de changement de mentalité.
L’absence aussi d’une campagne sur l’assainissement des lieux d’habitations sont des maux qui freinent en vrai la bonne marche de Kin bopeto. Tant que le changement global de mentalités ne sera pas une question éducative impliquant tout citoyen, ce problème de gestion des ordures et des eaux stagnantes va demeurer sans solution. Et c’est la population qui paie le prix.