Urgent-Medias: des infiltrés du M23 seraient dans la presse à Kinshasa !
C’est depuis le lancement de l’agression des terroristes du M23 soutenus par le Rwanda que nous assistons, à Kinshasa, à une avalanche des actes déplacés de certains journalistes qui seraient au service de l’ennemi.
Ils s’attaquent aux actions du gouvernement et de la communication du porte-parole du gouvernement en publiant des images hors contexte, des fakenews, propagateurs de la haine pour justifier leurs soutiens déguisés aux terroristes.
À chaque fois que les rebelles M23 s’attaquent aux Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC), ces infiltrés de la presse, sont à la première loge pour désinformer l’opinion.
Selon nos sources, un ancien du RCD serait le mentor du journaliste. Connu à Kinshasa proche et acolyte du vuvuzelateur locale, le journaliste serait l’agent fakenewseur.
Cependant, son mentor avait pris les armes pour soutenir le Rwanda par le shéma, RCD/Goma. Aujourd’hui, son acolyte s’applique froidement en se déguisant parfois comme journaliste sensationnel.
Néanmoins, pour se faire un nom, ce jeune journaliste c’est infiltré dans l’union nationale de la presse du Congo (UNPC). Après son bref passage à la prison centrale de Makala pour une courte rééducation, ce pseudo-journaliste n’a pas appris grand-chose.
Suivant la démarche du chef de l’État Félix Tshisekedi, celle de rendre salubre l’espace médiatique congolais en n’extirpant des moutons noirs, le porte parole du gouvernement, Patrick Muyaya, a lui aussi interpellé les patrons des médias lors d’une réunion technique tenue mardi 14 juin 2022 à son office de la Gombé.Il a sollicité un accompagnement responsable de la presse face à cette guerre qui nous impose un changement radical du narratif à ne pas publier les fakenews ou des faire l’apologie de la haine et de ne pas favoriser la désinformation.
Malheureusement, certains journalistes ont opté de faire des attaques personnelles contre le ministre de la communication médias et porte parole du gouvernement,
cet acharnement bénéficie du silence de l’union nationale de la presse du Congo et de l’organisation de journaliste en danger, ces journaleux seraient sous-traités par une main noire et combattent au côté des ennemis par leurs publications et twets qui désinforment la population.
Il est important que la justice se penche sur ce dossier qui en tâche la corporation des moutons noirs aux services des terroristes du M23.
Obed kayumba.